«Je cherche après Titine, Titine O ma Titine....»
Ce prétexte musical et léger avait guidé la construction d’Avis de Recherche...
Au départ du projet, les musiciens ont investi un répertoire hétéroclyte, puisé dans les envies et les rêves des uns et des autres... il est apparu assez vite qu’un personnage féminin central émergeait et disparaissait d’une chanson à l’autre.
Tantôt recherchée, tantôt en danger, tantôt insaisissable, travestie, victime... un personnage s’est dessiné, ses contours, sa vie esquissée, sa fin... devinée, envisagée, tragique? Son assassin, soupçonné, évoqué, démasqué...
C’est en suivant ce fil ténu et en faisant appel à leur imaginaire que les musiciens ont, ensemble, inventé la trame musicale et la trame dramatique qui y est liée.
De même que cette invention a été le fruit d’une réalisation collective, les divers arrangements musicaux ont eux aussi été inventés sur place, lors des séances de travail, ce qui donne à l’orchestration, à l’utilisation des timbres et des personnalités musicales un parfait équilibre. Un costume sur mesure en quelque sorte, pour cet ensemble plein d’énergie et de couleurs ...un costume élastique
aussi, qui sait laisser place à l’improvisation et au jeu dans l’instant, notamment dans les relations qui se tissent entre les interprètes sur le plateau, ainsi qu’avec le public et l’acoustique des lieux.
Avis de recherche n’est ni une pièce de théâtre ni un concert, c’est une forme qui cherche volontairement par l’évocation, l’allusion, l’illusion, l’indice, à emmener le spectateur vers sa propre romance, sans appuyer, sans asséner, qui cherche à le perdre aussi et à
l’entraîner vers une écoute poétique et enjouée.. On y voit et entend ce qu’on veut, les musiques et les paroles des chansons sont des pistes , souvent contradictoires, laissant entendre la voix de la disparue, la voix du bourreau, celle de la foule, ou une propre voix intérieure. Et tout cela avec beaucoup d’humour ( noir) et de légèreté !
Un spectacle qui a tourné en 2012, 2013 et 2014...dans de nombreuses salles de Bourgogne ...avec Emilie Desbrièrs, Denis Desbrières et Alice Waring, Hélène Fouchères, Jean Gaudy et Marie Fraschina.
Suite à de nombreux changements dans l'équipe, il n'est actuellement pas repris, mais certains morceaux du répertoire, notamment les pièces de Kurt Weill, demeurent présentes et capitales pour le répertoire de l'ensemble ( le Grand Lustucru notamment)
Ce prétexte musical et léger avait guidé la construction d’Avis de Recherche...
Au départ du projet, les musiciens ont investi un répertoire hétéroclyte, puisé dans les envies et les rêves des uns et des autres... il est apparu assez vite qu’un personnage féminin central émergeait et disparaissait d’une chanson à l’autre.
Tantôt recherchée, tantôt en danger, tantôt insaisissable, travestie, victime... un personnage s’est dessiné, ses contours, sa vie esquissée, sa fin... devinée, envisagée, tragique? Son assassin, soupçonné, évoqué, démasqué...
C’est en suivant ce fil ténu et en faisant appel à leur imaginaire que les musiciens ont, ensemble, inventé la trame musicale et la trame dramatique qui y est liée.
De même que cette invention a été le fruit d’une réalisation collective, les divers arrangements musicaux ont eux aussi été inventés sur place, lors des séances de travail, ce qui donne à l’orchestration, à l’utilisation des timbres et des personnalités musicales un parfait équilibre. Un costume sur mesure en quelque sorte, pour cet ensemble plein d’énergie et de couleurs ...un costume élastique
aussi, qui sait laisser place à l’improvisation et au jeu dans l’instant, notamment dans les relations qui se tissent entre les interprètes sur le plateau, ainsi qu’avec le public et l’acoustique des lieux.
Avis de recherche n’est ni une pièce de théâtre ni un concert, c’est une forme qui cherche volontairement par l’évocation, l’allusion, l’illusion, l’indice, à emmener le spectateur vers sa propre romance, sans appuyer, sans asséner, qui cherche à le perdre aussi et à
l’entraîner vers une écoute poétique et enjouée.. On y voit et entend ce qu’on veut, les musiques et les paroles des chansons sont des pistes , souvent contradictoires, laissant entendre la voix de la disparue, la voix du bourreau, celle de la foule, ou une propre voix intérieure. Et tout cela avec beaucoup d’humour ( noir) et de légèreté !
Un spectacle qui a tourné en 2012, 2013 et 2014...dans de nombreuses salles de Bourgogne ...avec Emilie Desbrièrs, Denis Desbrières et Alice Waring, Hélène Fouchères, Jean Gaudy et Marie Fraschina.
Suite à de nombreux changements dans l'équipe, il n'est actuellement pas repris, mais certains morceaux du répertoire, notamment les pièces de Kurt Weill, demeurent présentes et capitales pour le répertoire de l'ensemble ( le Grand Lustucru notamment)
Un aperçu du répertoire:
Le grand Lustucru, Les filles de Bordeaux extraits du cycle
Marie Galante de Kurt Weill
Bambino, musique de Giuseppe Fanciulli, paroles françaises de Jacques Larue
Parle plus Bas, musique de Nino Rota, paroles françaises de D. Bergmann
Je cherche après Titine, musique de Léo Daniderff, paroles de Bertal Maubon et Henri Lemonnier
Chanson des cloches de baptême, musique de Jean Luc Girard, paroles de Jean Richepin.
Le fou de Damia
Le Grand Tango d’Astor Piazzola.
Mi dolor Tango de Tenaro
Amor quedemonos aqui, tango de Hector Stamponi et Homero Esposito
Marche de l’armée Panaméenne de Kurt Weill
Musique de table de Thierry De Mey
Improvisations sur un thème espagnol anonyme (Cuando la lavaré ?)
Le grand Lustucru, Les filles de Bordeaux extraits du cycle
Marie Galante de Kurt Weill
Bambino, musique de Giuseppe Fanciulli, paroles françaises de Jacques Larue
Parle plus Bas, musique de Nino Rota, paroles françaises de D. Bergmann
Je cherche après Titine, musique de Léo Daniderff, paroles de Bertal Maubon et Henri Lemonnier
Chanson des cloches de baptême, musique de Jean Luc Girard, paroles de Jean Richepin.
Le fou de Damia
Le Grand Tango d’Astor Piazzola.
Mi dolor Tango de Tenaro
Amor quedemonos aqui, tango de Hector Stamponi et Homero Esposito
Marche de l’armée Panaméenne de Kurt Weill
Musique de table de Thierry De Mey
Improvisations sur un thème espagnol anonyme (Cuando la lavaré ?)